2009 se termine en beauté pour la musique cubaine avec la sortie tant attendue du dernier CD de TUMBAO HABANA “MAMBO DURO” ! Après les disques “ARRASANDO” de LOS VAN VAN, “HACIENDO HISTORIA” d’ HABANA D’PRIMERA et “OTRA DIRECCION » d’ARNALDO Y LA COSMOPOLITA, TUMBAO HABANA s’inscrit en tête de ce mouvement de renouveau de la SALSA CUBAINE, puissante et dansante à la fois, avec cette œuvre qui restera comme la meilleure de ce groupe et « MAMBO DURO » sera sans doute l’un des meilleurs disques 2009 !
Pascualito Cabrejas est Guantanamero. C’est un homme sincère, mais aussi simple et très sympathique.
Il commence sa carrière dans les années 80 avec d’autres musiciens adolescents qui forment à Guantanamo le groupe de Son Montuno appelé REY. Cette formation se recompose ensuite a La Havane sous le nom de TUMBAO 8, précisément le nom du rythme caracterisitique du Son.
Pascualito Cabrejas compose, arrange et dirige désormais TUMBAO HABANA, qui vient de sortir leur 3eme CD, « Mambo Duro », un orchestre qui a su se maintenir en 12 ans et qui a gagné en popularité, en force et en talent.
Ce nouveau CD est excellent et il est destiné aux danseurs avec toujours cette machine musicale, cette mécanique, ce Tumbao qui rend irrépressible l’envie de danser et de faire la fête.
Mecanica Nacional !
Il faut avouer que les « peña » le Tumbao Habana à La Havane sont probablement les plus sympathiques, et parmi les plus endiablées et animées d’une incroyable complicité avec un public populaire, simple mais aussi déchainé !
Jusqu’il n’y a pas si longtemps, Tumbao Habana faisaient tous les Vendredis les belles heures des matinées du Cafe Cantante, sous le Teatro Nacional, Plaza de la Revolucion a La Havane.
Cet orchestre a déjà sorti deux disques qui ont marqué leur époque :
Le premier opus, sorti en 2000, est appelé tout simplement « Tumbao Habana » avec les succès « Fefa la Oriental », « Relacion Internacional » et l’hymne de Tumbao Habana « Lo Que Te Paso Conmigo ».
Il fut imprégné de Son, de Timba et de Jazz sous les bons auspices de Joaquin Betancourt et il introduisait la voix emblématique de Tumbao Habana, celle d’Osvaldo Mendoza, aux côtés de Orlando Miguel.
Le deuxième CD, un bijou, ce « Ese Huevo Quiere Sal », issu en 2003, est un genre de manifeste esthétique ou de nombreux genres musicaux cubains sont représentés, comme le Son, la Rumba, le Mambo, la Salsa, le Boléro ou la Ballada, le Reggae, mais quasi tous finissent par être interprétés en Timba.
Pascualito assume dans ce CD une grande maitrise et une grande maturité, ou l’objectif est toujours inspirer le public, le danseur tout en magnifiant la « Cubania ».
Il impose un style où le Son et la Rumba reste très présents alors que l’interprétation reste très moderne, citadine et populaire.
Osvaldo Mendoza est accompagné de Norberto Gomez, aujourd’hui chez Pupy y Los Que Son, après un passage chez Maikel Blanco y su Salsa Mayor, Lazaro Diaz et Julio Cesar Bouza.
Le groupe de base reste quasi inchangé avec Pedro Macias au Piano, Gilberto Acen aux Congas, Denis Ramirez aux Timbales, René Leonard au Güiro, Manfrido Perez à la trompette.
Pascualito introduit toutefois un Trombone avec Yamir Rivero, un autre trompettiste, Reiner Oliva et un nouveau bassiste, Jorge « El Mango » Martinez.
Le Mambo de Perez Prado « Mambo Jambo », est réinterprété en Timba et Rap avec un clin d’œil à Radio Reloj au debut et avec un solo de Timbales de Monsieur Jose Luis Quintana alias « Changuito » – El Misterioso.
Les reprises du Son “El Cuarto De Tula”, du Bolero « Veinte Anos » ou du Guaguanco “Sabanas Blancas” avec Jose Luis Cortes et Sixto Llorente “El Indio” sont tout simplement brillantes et inspirées.
Les thèmes “Ya Llegue”, “Este es mi pasillo”, “El Feo” sont de grands succès qui représentent bien le style de Tumbao Habana, un style où la basse, les percussions, le Tumbao sont puissants, les chœurs sont graves et ‘macho’, où la voix du chanteur soliste, plus claire ou aigue et légèrement nasillarde, harangue le public, ou les Mambos de cuivres syncopés impriment la Rumba. Ces cuivres sont obsédants, rythmiques avec des sonorités souvent surprenantes, parfois pachydermiques, et parfois légèrement dissonantes.
Tumbao Habana joue une Timba intelligente, ou la musique épicée respire afin que le danseur puisse a la fois partager avec l’orchestre et avec sa partenaire ces morceaux souvent amusants, ou le Tumbao , la Mecanica prédomine !
Jamais ils ne se prennent au sérieux mais au contraire ils restent populaires, ‘guapos’, près de la ‘Calle’, de su ‘Pasillo’ et la musicalité est toujours présente, surprenante, inspirée et tournée vers le danseur.
Les arrangements placent toujours des clins d’œil, des références, des surprises qui font de cette musique un trésor pour le danseur espiègle ou le mélomane à l’affut de pépites.
Les sujets d’inspiration sont puisées dans la sagesse populaire, dans l’autodérision, dans les situations extrêmes, voire cocasses de la vie quotidienne a Cuba.
Pascualito ne manque jamais d’interpréter quelque thèmes romantiques comme « Ella » ou « Ama » car comme chacun sait l’agressivité de sa Timba est joyeuse mais la « Musique adoucit les mœurs » !
PREPAREZ VOUS ! TUMBAO HABANA REVIENT EN FORCE et LE MAMBO EST DUR ! UN MAMBO DURISSIMO !
Le disque devait sortir en Mars mais est finalement sorti en Novembre 2009.
13 Titres excellents constituent ce « Mambo Duro » qui va faire date dans les discographies cubaines.
Pascualito presente « MAMBO DURO »
Pascualito Cabrejas et Tumbao Habana nous livrent encore une Timba très dansante, inspirée, abordant parfois des thèmes plus graves mais où la musique garde toute sa joie, sa fraicheur, son inventivité et les danseurs devraient être encore plus content car la place qui leur est réservée est de premier choix !
L’orchestre a vu quelques changements car Norberto Gomez est parti chez Salsa Mayor puis chez Pupy y Los Que Son Son. La voix historique de Tumbao Habana, Osvaldo Mendoza poursuit une carrière en solo. Michel Perez a fait un passage chez Pascualito avant de passer chez la Charanga Forever puis chez Pupy y Los Que Son Son. Le jeune Ronnys (Ronnys A. Lopez Salas) a aussi fait ses armes avec Tumbao Habana avant de remplacer Alain Daniel comme vedette de Bamboleo aux côtés de Tanja Pantoja… Qui dira que Tumbao Habana n’est pas une école de grands talents ?
Toutefois Pascualito a su à chaque fois renouveler avantageusement sa première ligne avec Emilio Frias, Julio César Bouza (Julito), Luis Alberto Castro (Luisito) et Reinier ‘El Moro’ Ojeda Torres.
Emilio
Luisito
Les musiciens sont désormais :
Arnaldo Gonzalez – Bajo
Pedro Macias au Piano
Pedro Macias (piano)
Oslien Borroto (Congas)
Lazaro Averof (Timbales)
Rene Leonard – Guiro
Santiago Laszo – saxophone
Carlos Abreu – Trombonne
Ricardo Caboverde & Isidro Duran – Trompettes
Francisco Carbonell – Claviers et Arrangements
Notons toutefois les invités de prestige qui ont participé à ce « MamboDuro » :
Rolando Salgado “El Niño” / Afro-Cuban All Stars, Felix Baloy & Candido Fabre – Bongo ( “La Luna” – No me conformo )
José Luis Cortes / NG La Banda – Flute (“La Nena”)
César Lopez / Habana Ensemble – Saxophone soprano (“Devuelveme la vida” )
Arlenys Rodriguez / NG La Banda – Voix (“Devuelveme la vida” )
Alexander Abreu / Habana D’Primera – Voix (“La Familia Cubana”)
Rafael Duani / La Barriada – Choeur
Les succès inédits de Tumbao Habana
Quelques grands succès de Tumbao Habana de ces 3 dernières années ne figurent pas sur ce CD, a savoir « Johana », « Super 12 » (en référence a l’émission de variété de la télévision cubaine, « Antes » une reprise romantique de Obie Bermudez, et le tube « Amanezco ».
Pascualito projettait de les inclure avec d’autres compositions comme “La Boca Divina”, “Pa mi gente buena (Party – Fiesta)”, “Cuanda a Varadero llegue”, sur un autre CD ‘en vivo’ pour la deuxième moitié de 2009 !… Il faudra probablement attendre 2010 😉
Tumbao Habana commencent ou terminent souvent leurs concerts par un thème emblématique de leur style, un refrain immédiatement reconnaissable ¡
Autrefois, c’était avec le Mambo de « Lo Que Te Paso Conmigo » qu’ils ouvraient et fermaient le bal.
Le dernier CD terminait avec ce Mambo et avec ce ‘coro’ « Soy Tumbao Habana » .
Le nouveau CD « Mambo Duro » semble introduire la suite en commençant par :
1. “Y tu quisieras saber” … Quien Soy Yo ?
La réponse évidente est dans l’épisode précédent : “Tumbao Habana ¡” Bien sûr !
Emilio rappe sur cette chanson un peu comme la dernière version de Pupy de « Calla Calla »
Luisito (Luis Alberto Castro) avec justement un timbre proche de celui de Pepito.
Le coro “Y tu quisieras saber… Quien Soy Yo ? ” interpelle et appelle a une question profonde…
Mais la réponse est bien plus légère, joyeuse !
Que paso, se te olvido
El Tumbao lo pongo yo !
Tumbao Habana est de retour ! “Tumbao es el que canta ¡”
Ce morceau donne tout de suite le ton d’un album festif et dansant avec des compositions minutieusement calculées pour apporter par strates successives les elements d’une explosion musicale pleine de surprises toujours amenées discrètement. Ce Pascualito est un Maestro et ce Tumbao va s’imposer !
2. « Padrino »
« Padrino » devint un grand succès des pistes de danse en quelques jours seulement !
Emilio chante cette chanson qui parle intelligemment de la religion et du « Padrino », le Babalao… C’est une chanson sur la foi. Le rythme y est haletant, le tumbao est puissant, l’orchestre se transforme en locomotive ou en rouleau compresseur (« la planadora ») !
Les chants Yoruba ou Abakua attirent notre attention et donnent une intensité très particulière à cet hommage à la religion, à la relation entre les cubains et leurs guides spirituels. Cette chanson est de surcroit interprétée de manière très sincère par un Santero initié à l’Abakua. « Pide Permiso » !
3. « La Familia Cubana » – Cette nouvelle version de cet hommage à l’ile de la musique, à l’ile de la solidarité, à l’ile des rêves, à la ‘Cubania’, nous offre une surprise avec Alexander Abreu au chant poétique!!! Les clins clin d’œil au « Manisero », à la « Guatanamera » ou à « Manteca » de Chano Pozo, nous rappellent l’ingéniosité des Mambos de Tumbao Habana en même temps que cette chanson célèbre Cuba et sa région orientale, si fertile à bien des égards. Cette chanson au rythme dansant mais plus modéré, enchante par son lyrisme, par le chœur et la chaleur transpirant dans les paroles et dans les voix.
Il n’y a aucun doute que les couples, en dansant, chanteront à tue-tête cette chanson sur le dance-floor et que les fanatiques d’Alexander Abreu trouveront ici encore une pépite de son immense talent et de son œuvre pour la défense de la culture et de la musique cubaine aux côtés de Pascualito Cabrejas et de sa formidable machine « Tumbao Habana » !
4. « No hay como mi Son » – Le Son Montuno est ici dans toute sa splendeur, une version exceptionnelle de « Mi Son Mi Son Mi Son » de Lili Griñan Martinez.
Le Piano s’y joue de manière surprenante mais bien sentie ! La modernité est de tous les instants, les bloques (breaks) et la manière dont les percussions retombe sur leurs pieds sont tout simplement hallucinants dans la mesure où la trame du Son ne se perd jamais. Un soupçon satirique de Reggeaton et une force sous-jacente et bien Timbera pour une interprétation qui respecte les standard du Son, cette manière de jouer droite, abrupte, avec un solo de flute, de trompette, un ‘Champola’ de saxophones appuyé par les trombones puis par les trompettes… Et alors entre ce Tumbao qui s’imprègne avec une saveur inégalée !
Bravo Pascualito ! Pa’l Monte ! Merci pour cet hommage aux illustres artiste de Guantanamo que vous êtes a l’instar du grand Lili Martinez !
5. « No me conformo » – Tumbao Habana nous amène en République Dominicaine pour une Bachata, bien romantique, très contemporaine, appuyée par une trompette en sourdine, dans laquelle la voix de Julio César Bouza emprunte des accents a Juan Luis Guerra pour chanter l’amour, l’éloignement et le manque, les appels téléphoniques et l’absence physique…
« Sufriré por yo tenerte
Sufriré por abrazarte
Sufriré
Aunque tu hagas tantas y tantas llamadas
En mi mente piense que estas ahi
Sufriré
Es que es asi
Tu voz tan lejo de mi »
6. « Ella no tiene na’ » – Cette chanson aborde le thème de l’amour intéressé et de la suite logique qui en est la solitude. La flute donne un faux air de Charanga à ce morceau plus léger. Une chanson dont l’inspiration des paroles est finalement bien dans le style de l’ancienne Charanga Habanera. « Atrevida », « Mentirosa » sont les qualificatifs attribués à la principale protagoniste, la ‘muchachita’ qui dépasse les bornes… « Atrevimiento No ! ». La basse, par son un tumbao clair, transparent, conduit l’ensemble et ne laisse aucune autre issue au danseur que de se lancer sur la piste. Accompagné d’abord par des questions-réponses entre la flute et les trompettes mais ce sont finalement les Mambos de cuivres qui tirent cet attelage débridé soutenu toujours par une rythmique puissante, un piano martelé a la Juan-Carlos Gonzalez et un chanteur , Luisito, dont la chaleur et la pression n’est pas sans rappeler ‘Pepito’ ! La trompette de Ricardo Caboverde conclut le bouquet final !
“Ella no tiene na’ ”…
Mais nous… Si !
Trop de plaisir…
7. « Candela »
« Candela » fait un petit clin d’œil au « Candela » d’Ibrahim Ferrer, au « Que le den Candela » de Celia Cruz, a Juana Bacallao, a Celeste Mendoza , et à « La Negra Tomasa (Bilongo) » mais c’est surtout une Timba bien enlevée, à la cadence rapide, avec une mélodie lyrique. La voix à la fois nasale et perçante de Emilio Frias enflamme cette chanson, lui insuffle une passion soutenue par une orchestration vive, des trompettes incisives, une Salsa très dansante, riches de références au Son cubain, évoluant alternativement entre des passages lyriques, animés par la tentation, à des passages plus percussifs. Le refrain à propos de cette ‘Negra’ rend ce morceau irrésistible, chaud, chaud … Candela ! Que tiene esta negra?
8. « Mambo Duro » – Ce titre qui a donné son nom au CD commence sur une note plus grave, plus profonde. Mambo Duro aborde la séparation, la distance, de la guerre et des maladies la difficulté de la vie a Cuba et en dehors de Cuba , de la crise mondiale et de la diaspora cubaine. Comment s’assumer seul, loin des siens ?…
« Al final se fue, logro lo que quería
Pero recibí su email
Donde me decía:
Estoy bien, pero como te extraño
He pasado tantos días sin saber de ti
Aquí todo esta diferente
No conozco como viven la gente
Me levanto y me acuerdo pensando en ti ¡
Te dije no ha sido fácil
Ni lo que esperaba
No quiero hacer comparación
Porque no estoy mal
Pero me hablan de los precios que han subido
De la violencia y del hambre
Que es testigo
De la droga y de la corrupción
De prostitucion y repatriación
De la sequía que nos amenazan
De enfermedades que se propagan
De la vida que ya no es vida
Y se preguntan porque ¿
……………..
………………..
El Mambo esta duro !
Esta durísimo ¡
Y me pregunto porque ¿
Raspa, Raspa ? (Trabaja un poquito por aquí un poquito por allá)
Y Ponle Chequende (Corazon)
Y Dale Chaka Chaka (No coja lucha) »
Cette chanson commence sur un rythme endiablé mais passe peu après en Mambo , plus ancré dans la terre, apparemment plus lent, plus grave ! L’effet est assez similaire de celui du morceau « A Sancochar boniato » du Charangon d’Élito Revé. Cela donne une deuxième impulsion au morceau, ou plutôt un second souffle que les danseurs de Casino apprécieront et sur lequel ils pourront évoluer avec plus d’aise et de plaisir, après ce départ haletant. Le Mambo revient alors en force pour culminer a la fin.
9. “Devuelveme la vida (Pido Perdon)” – Cette chanson, une reprise d’une chanson espagnole reprise par Alejandro Sanz et Antonio Orosco, commence comme une ballade chantée par Julito puis évolue en une Salsa Romantique en duo avec Arlenys Rodriguez de NG La Banda.
« Pido Perdón de la única forma de ser! »
Je te demande pardon, de la unique manière qui soit !
Rends moi ma vie, que j’en ai besoin !
Le saxophone soprano de César Lopez virevolte et agrémente avec élégance ce thème plus aérien, en contrepoint a une rythmique finalement toujours ferme. Un duo bien senti, romantique, qui tranche avec le climat plutôt musclé de cet opus.
10. « No te rompas la cabeza » – Le mélange de la Salsa et du Reggeaton façon Tumbao Habana reste surtout une bonne Timba même si certains passages sont rappés. Les pistes de danse devraient adorer morceau bien cadencé, bien chaloupé, plein de ‘Bomba’ où les cuivres font petit à petit monter la pression, d’abord avec les trombones puis avec le trompettes qui se font plus insistantes. FIESTAAA ! Et ne te casse pas la tête plus longtemps ! Danse !
11. « De Que Lado Esta La Luna » – Pascualito, par la voix de Julio Cesar Bouza va ensuite chercher à décrocher la lune… Il nous livre une Salsa Romantique, poétique, une chanson en hommage à l’amour ou la Lune joue les entremetteuses. La magie de Tumbao Habana est qu’ils savent chanter l’amour sans tomber dans des interprétations mièvres, sirupeuses. Lyrique, sentimental, vibrant et jamais vulgaire ni faible ! L’Amour y est synonyme d’astre !
12. « La Nena » – Vous voulez du Tumbao ! Voila du Tumbao ! Cette Nena, cette nouvelle version d’un thème qui avait déjà enflammé les pistes de danses au printemps 2008, ne va pas décevoir les passionnés. Plus de flute encore ! Plus de Mambos ! Plus de breaks ! Plus de Tumbao Habana ! Plus de passion !
Luisito en quête de ce bébé, de cette femme idéale, belle et naturelle, qui l’aimera, le comprendra ! Cette femme va tomber du ciel ou la flute et les trompettes se rivalisent de virtuosité !
13. « Tema De Despedida » – Comme a son habitude Pascualito Cabrejas prend congé avec un Tumbao, un coro et un Mambo caractéristique de son style ! C’est avec celui du premier morceau, “Y tu quisieras saber”, qu’il boucle la boucle et qu’il nous donne rendez-vous !
TUMBAO HABANA avaient voyagé au Mexique, au Pérou et même au Japon mais ils sont finalement en Europe pour la première fois pour notre plus grand bonheur !
Ne manquez sous aucun prétexte cette MECANICA NACIONAL !
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