Publié en 1971, l’album La Gran Fuga est le cinquième enregistré par Héctor Lavoe avec l’orchestre de Willie Colón depuis 1967, date du début de leur collaboration artistique.
Aux côtés d’autres titres marquants comme Panameña, No Cambiaré, ou Cancion para mu suegra, on y trouve Abuelita.
Dans cette chanson, Héctor Lavoe évoque avec humour et tendresse le souvenir de sa grand-mère et des dictions de sagesse populaire qu’elle avait l’habitude de lui réciter.
D’après Chabelita, le personnage qui est évoqué dans la chanson n’est pas la véritable grand-mère de Héctor Lavoe, qu’il n’a pas connue, mais sa « mamie de substitution » Doña Monse.
Fabrice Hatem
Ses interprétations par Héctor Lavoe | |
Ses paroles en espagnol[1] | Sa traduction en français |
Abuelita Recordando a mi abuelita Palo que nace dobla’o, jamás su tronco endereza Abuelita tus refranes me hacían reir. ¡Ay! abuelita de mi vida Abuelita tus refranes me hacían reir. Aquel que abuela tiene (Instrumental) Abuelita tus refranes me hacían reir. ¡Ay! Abuelita de mi vida Abuelita tus refranes me hacían reir. Agua que por la ribera | Abuelita Je me souviens de ma grand-mère L’arbre qui naît tordu, son tronc ne se redresse jamais Grand-mère, tes proverbes me faisaient rire. Ah ma grand-mère chérie Grand-mère, tes proverbes me faisaient rire. Celui qui a encore sa grand-mère (Instrumental) Grand-mère, tes proverbes me faisaient rire. Ah, ma petite grand-mère adorée Grand-mère, tes proverbes me faisaient rire. L’eau qui danse au bord du rivage |
Références complémentaires |
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