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Composée par Víctor Manuel Mato, cette salsa a été enregistrée en 1980 dans le second album de l’orchestre Portoricain La Solución, intitulé, tout simplement, Orquesta la Solución.

Elle conte la nostalgie amoureuse d’un homme qui n’a pas réussi à retenir auprès de lui une femme aventureuse et rebelle.

Son immense succès a constitué le véritable point de départ de la carrière de Frankie Ruiz, alors âgé de 22 ans, qui était le chanteur du groupe La Solución avec Jaime Rivera.

Fabrice Hatem

 

Ses interprétations par Frankie Ruiz

CD de l’orchestre La Solucion (1980)

En version « show TV »

Ses paroles en espagnol[1]

Sa traduction en français

La rueda
(Victor Manuel Mato)

Tu eres la rueda, yo soy el camino
Pasas encima de mi dando vueltas
Tu rodaras porque ese es tu destino
Sin encontrar nadie que te detenga.
Quise pararte pero ibas sin frenos
Y tus rodadas me hicieron pedazos
Porque no quieres los caminos buenos
Y agarras todo lo que hay en tus pasos.

Yo que soñaba, con ser en tu vida
El terminar de tus vueltas al mundo
Te vi pasar como nave perdida
De aqui pa’lla sin agarrar tu rumbo.
Ninguna rueda me habia lastimado
Y me pasaron de las mas pesadas
Pero contigo quede destrozado
Porque no hiciste ninguna parada.

Yo que te tenia siempre a mi lado
Y el dia menos pensado
Tu te me fuiste de mi lado.

Pero hay que barbaridad,
Y yo sin moverme del mismo lugar…

Ninguna mujer a mi me habia lastimado
Pero contigo yo quede destrozado.

Pero hay que barbaridad,
Y yo sin moverme del mismo lugar…

Yo que soñaba con ser en tu vida
El terminar de tus vueltas al mundo
Te vi pasar como nave perdida.

Pero hay que barbaridad,
Y yo sin moverme del mismo lugar…

Quise pararte pero no me escuchabas
Tu te querias ir con el
Y de mi lado tu te alejabas.

Pero hay que barbaridad,
Y yo sin moverme del mismo lugar…

Oye negrona sigue dando vueltas
Verdad que no consigue
Ahiii…

Pero hay que barbaridad,
Y yo sin moverme del mismo lugar…

Yo que a ti te daba todita mi lana
No supiste apreciar
Y seguiste con tus rodadas.

Pero hay que barbaridad,
Y yo sin moverme del mismo lugar…

Tu eres la rueda yo soy el camino
Pasas encima de mi buscando tu destino.

Pero hay que barbaridad,
Y yo sin moverme del mismo lugar…

Te vi pasar como nave perdida
De aqui para’lla sin agarrar tu rumbo.

Pero hay que barbaridad,
Y yo sin moverme del mismo lugar…

Pero ay que barbaridad, pero oye que barbaridad
Tu lo perdiste todo y aqui tu no tienes na

Pero hay que barbaridad,
Y yo sin moverme del mismo lugar…

La roue
(Traduction de Fabrice Hatem)

Tu es la roue, moi je suis le chemin
Tu passes par dessus moi pendant que tu tournes
Tu rouleras parce que c’est ton destin
Sans rencontrer personne qui te retienne.
J’ai voulu t’arrêter mais tu allais sans freins
Et ton roulement a arraché mes bornes
Car tu n’aimes pas prendre les bons chemins
Et tu bouscules ce que se trouve sur ton passage.

Moi qui rêvais qu’en entrant dans ta vie
Je mettrais fin à tes tours du monde
Je t’ai vu passer comme un bateau à la dérive
Tanguant de ci, de là, sans trouver ton chemin.
Aucune roue ne m’avait tant blessé
Et pourtant, j’en ai connu de plus mauvaises
Mais avec toi j’ai été démoli
Parce que jamais, jamais, tu ne t’es arrêtée.

Moi qui me tenais toujours à tes côtés
Le jour où je m’y attendais le moins
Tu es partie, tu m’as m’abandonné.

Mais ah ! Quel malheur
Et moi qui suis resté au même endroit…

Aucune femme ne m’avait autant blessé
Mais avec toi j’ai été détruit.

Mais ah ! Quel malheur
Et moi qui suis resté au même endroit…

Moi qui rêvais qu’en entrant dans ta vie
Je mettrais fin à tes tours du monde
Je t’ai vue passer comme un bateau à la dérive.

Mais ah ! Quel malheur
Et moi qui suis resté au même endroit…

Je voulu t’arrêter mais tu ne m’écoutais pas
Tu voulais partir avec lui
Et tu t’es éloignée de moi.

Mais ah ! Quel malheur
Et moi qui suis resté au même endroit…

Alors, chérie, continue à rouler
Car c’est vrai, je n’ai pas réussi
Ahiii…

Mais ah ! Quel malheur
Et moi qui suis resté au même endroit…

Moi qui te donnais le meilleur de moi-même
Tu n’as pas su apprécier,
Et tu as continué à rouler.

Mais ah ! Quel malheur
Et moi qui suis resté au même endroit…

Tu es la roue et je suis le chemin,
Tu passes sur moi en cherchant ton destin.

Mais ah ! Quel malheur
Et moi qui suis resté au même endroit…

T’ai vu passer comme un navire perdu
Allant de ci, de là, sans trouver ton chemin.

Mais ah ! Quel malheur
Et moi qui suis resté au même endroit…

Mais ah quel malheur, mais dis, quel malheur
Tu as tout perdu, ici tu n’as plus rien

Mais ah ! Quel malheur
Et moi qui suis resté au même endroit…

Références complémentaires

Une biographie en espagnol de Frankie Ruiz

Nom des auteurs/compositeurs des principales chansons du répertoire de Frankie Ruiz


[1] Les parties interprétées par le chœur figurent en italiques. Les paroles en espagnol sont basées sur la version « CD »