L’oeuvre
Cette chanson fut composée en en 1969 par Silvio Rodriguez en souvenir d’une femme qui fut son premier amour de jeunesse, Emilia.
Dans une interview citée en lien, il explique que le souvenir de cet amour malheureux le poursuivit pendant des années jusqu’à ce qu’il se décide à composer cette chanson.
Fondateur avec d’autres jeunes auteurs cubains comme Pablo Milanés du mouvement de la Nueva trova – version cubaine de la Cancion protesta latino-américaine, Silvio Rodriguez est également connu pour son engagement « de gauche » et « anti-impérialiste » aux cotés du régime castriste.
Fabrice Hatem
Ses interprétations par Silvio Rodriguez | |
– Version « live » en concert (date et lieu non précisés, mais ambiance survoltée) | |
Ses paroles en espagnol[1] | Sa traduction en français |
Ojalá Ojalá que las hojas no te toquen el cuerpo Ojalá se te acabe la mirada constante Ojalá que la aurora no dé gritos Ojalá se te acabe la mirada constante | Ojala Je souhaite que les feuilles ne touchent pas ton corps Je souhaite que disparaisse le regard ferme, Je souhaite que l’aurore n’entende pas de cris Je souhaite que disparaisse le regard ferme, |
Références complémentaires – Site très complet consacré à Silvio Rodriguez (en espagnol) – Présentation succincte de la vie et de l’œuvre de Silvio Rodriguez – Sur l’explication de l’origine et de certains vers cryptiques de la chanson (en espagnol) |
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